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Universitaire, chercheur en musicologie et flûtiste chevronné, Imed Zarka s’est initié à la musique depuis sa tendre enfance grâce à son père, le célèbre Cheikh du malouf Hamouda Zarka, l’un des pionniers du patrimoine musical kairouanais, à qui il a dédié son livre « Le degré zéro de la musique » (Ed. Maison tunisienne d’édition). Son second ouvrage qui paraîtra incessamment est également consacré à la musique dans tous ses états.
Dans quel genre littéraire clas- sez-vous votre livre « Le degré zéro de la musique » ?
J’ai entrepris une approche anthropologique et de sciences humaines. Le livre traite de la musique en rela- tion, entre autres, avec la lin- guistique, l’anthropologie ainsi que d’autres thèmes comme le crime, la violence, la peur et la musique en tant que savoir et non celle liée aux festivités. La musique est en relation avec l’être humain dans ses joies et ses douleurs. Dans la plupart des régions du pays, on accompagne les morts à leur dernière demeure avec de la musique.
Lire l’intégralité de l’article dans notre version papier du 02-03-2025